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Come together : il ne manque qu'un sachet d'ecsta pour s'y croire...

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Un jeu d’Asmund Svensson, Eilif Svensson et Vegard Eliassen Stillerud, illustré par Yan Moussu et édité par Chilifox Games, et en France par Matagot. ☝ Instant Wikipedia :  Le mythique festival de Woodstock s’est déroulé aux États-Unis du 15 au 17 août 1969 (enfin c’était tellement bien qu’ils ont poussé jusqu’au 18 août) dans la ferme Max Yasgur (on peut imaginer sans peine la taille de ses récoltes après le passage des festivaliers ayant plus de drogues dans les urines que dans les narines de feu Amy W.),  a accueilli environ 500 000 hippies de tout poil et 32 groupes de musique.  En star, joueront par exemple Joe Cooker, Jimmy Hendrix, Les Who ou même Santana (ça change de Jul, Arielle Dombasle et Aya Machinmura) .  Le début est plutôt mouvementé puisque le présentateur est tétanisé par la foule, le groupe d’entrée est bloqué dans les bouchons faramineux et Tim Hardin trop défoncé pour jouer.  Finalement c’est Swami Satchidanan...

Kronologic Paris 1920 : un Cluedo en mode charleston

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Un jeu de Fabien Gridel et Yoann Levet, illustré par Arch Apolar et Yann Valeani, édité par Origames et Super Meeple. ☝ Instant Wikipedia :   Le premier meurtre de l’histoire remonte à 430 000 ans (il y en a peut être eu avant, mais ils n’ont pas encore été découverts, point de Morgane Alvaro chez les paléontologues) .  Un squelette découvert à Sima de los Huesos en Espagne au milieu de 28 autres squelettes qui, eux, ne présentaient aucune trace d’homicide. La victime faisait partie de l’espèce des homoheidelbergensis, soit un des premiers ancêtres humains non néandertaliens.  Elle a été retrouvée avec 2 lésions osseuses du crâne identiques liées à un objet contondant, l’absence de cicatrisation osseuse confirme que la mort a été rapide et les 2 lésions qu’il s’agissait d’un acte volontaire (ou d’un proto humain se frappant volontairement le crâne contre un mur jusqu’à ce que mort s’ensuive en voyant les votes des USA quelques 430 000 an...

Le château blanc : petite boîte haute en couleur

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Un jeu d’Israël Sandrero et Sheila Santos, illustré par Joan Guardiet et édité par Iello. ☝ Instant Wikipedia :   Les daïmios, ou daïmyos sont des nobles japonais ayant régné sur le Pays du Soleil Levant de la période Muromachi (1333 environ) à 1871 où leurs territoires, les Hans, furent abolis et leurs princes contraints de résider à Tokyo.  Avant cela, ces nobles étaient répartis en fonction de la taille de leur domaine en mode kokushu, ryoshu et joshu.  Puis jusqu’à leur unification lors de la bataille de Sekigahara en 1600, ces éminences nipponnes se firent la guerre pour obtenir de plus en plus de territoires. Après ça, le titre de daïmio fut accordé à 200 princes et grands seigneurs dont le revenu annuel devait dépasser 10 000 kokus de riz, soit 1500 tonnes (et après on s’étonne qu’ils aient l’air constipé, le seppuku n’était au final qu’une façon de se libérer le transit si ça se trouve) .  Les nobles à revenus moindres étaient des s...

Nekojima : chat va choir, chérie.

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Un jeu de David Carmona et Karen Nguyen, illustré par Gilles Warmoes et édité par Unfriendly Games. ☝ Instant Wikipedia :   Le Maneki Neko est la statuette de chat levant la patte porte-bonheur qu’on retrouve à l’entrée de tous les restaurants « japonais » de l’Hexagone, et plus encore.  Il représente la bonne fortune, et en fonction de la patte levée il attire client ou argent.  L’histoire les ferait apparaître lors de l’air Edo entre 1603 et 1867 au Japon, mais les premières traces réellement documentées datent de l’ère Meiji vers 1870.  L’histoire veut que le gouvernement japonais, souhaitant occidentaliser le Pays Du Soleil Levant, fit interdire les talismans sexuels à l’entrée des maisons de passes, et les Madames Claude du cru les remplacèrent par ces chats invitants le  chaland à entrer, dans tous les sens du terme. D’autres affirment que ça symbolise un chat qui va se laver le visage, ce qui est signe d’arriver d’un visiteur ou de pluie ...